Étudiant étranger situations régulière très compliquée. comment ne pas tomber dans l’irrégularité ?
par soueva
Bonjour,
On comprend que vous soyez préoccupé, car votre situation est vraiment difficile depuis que vous n’avez plus le soutien de votre famille.
Vous devez simplement savoir que vous pouvez aller jusqu’à deux redoublements. Il suffit que vous joigniez une lettre au préfet à votre demande en expliquant votre situation scolaire et de lui demandant son indulgence. Mettez un mot sur l’anef en même temps que votre demande de titre. Vous pouvez doubler par une lettre recommandé au préfet.
Cependant il est très important que vous ne dépassiez pas le quota d’heures 964h/an ( par titre étudiant), car dans ce cas là, vous ne pourriez pas compter sur l’indulgence du préfet.
Vous n’avez pas peut-être intérêt à demander un changement de cursus, car les préfectures n’aiment pas cela, sauf si les formations sont très proches et si vous justifiez bien votre choix dans votre lettre.
Avoir votre troisième carte étudiant ne sera pas simple, car les cas de refus les plus fréquents sont l’absence de ressources et les mauvais résultats scolaires, le refus étant accompagné d’une obligation de quitter le territoire ( ce qui est très grave depuis la dernière loi Darmanin de janvier dernier si vous ne quittez pas le territoire dans les 30 jours).
Maintenant pour trouver du secours matériel, il y a beaucoup de choses de prévu. Maisl faut s’adresser au bon endroit.
N’hésitez pas à eller voir les assistantes sociales du Crous, celles de votre lycée aussi ; allez aussi à la mairie de votre domicile ou de celui de votre père. Les mairies sont des bons de logement, des bons de nourriture etc...
Les aides peuvent prendre toutes sortes de forme : aides ou gratuité de l’inscription, logement, transport, santé
Je vous renvoie au guide de l’étudiant étranger qui devrait bien vous servir :
http://guide-etudiants-etrangers.org.
Bon courage à vous, vous avez déjà fait beaucoup !.
Venez nous racontez tous vos efforts, cela donnera du courage aux autres étudiants, car beaucoup galèrent comme vous.