Bonjour,
Je m’excuse par avance de la longueur de ce message.
Je suis une étudiante gabonaise arrivée en France avec un visa étudiant en 2007.
Au cours de mon cursus j’ai fait une fois un changement d’orientation ( j’ai d’abord validé un bac+2 à avant de changer de filière).
J’essaie de valider un bac+5 en ce moment (7 matières à valider pour obtenir le diplôme) Je vous résume mon parcours :
2013 : validation d’1 matière
2014 : hospitalisation donc je ne passe pas les examens
2015 : même chose que 2015 (?)
2016 - 2017 : validation de 4 matières sur 7
À ce jour il me reste 2 matières à valider pour obtenir mon diplôme. Je me suis inscrite en cours du jour au CNAM.
Au moment du dépôt de ma demande de renouvellement je n’avais pas encore mes résultats. J’avais eu un récépissé d’un mois.
Hier j’ai déposé mon inscription au CNAM.
La dame ( de la prefecture ?) qui m’a reçue était nouvelle et est allée demandé conseil à une de ses collègues sur mon inscription. Elles ont par la suite appelé une troisième personne et elles ont discuté au moins 10 minutes de mon dossier. La dame qui m’avait reçu au départ est revenue et m’a demandé une lettre explicative de parcours. Je l’avais déjà joint à mon dossier et elle l’a retrouvée ainsi que les bulletins d’hospitalisation.
Au final elle m’a fait un récépissé de 15 jours. Quand je lui ai demandé pourquoi 15 jours au lieu des 3 mois habituelles, elle m’a dit que leur supérieur arrivait aujourd’hui et qu’elles allaient lui soumettre mon dossier.
Sincèrement je trouve ça vraiment bizarre et je pense qu’ils m’ont donné ce récépissé le temps pour eux de préparer une oqtf.
D’autre part mon conjoint africain (ayant un titre salarié) et moi avions commencé les démarches pour un Pacs. Ça fait bientôt 3 ans que nous vivons ensemble et nous avons un enfant de 2 ans.
Au cas où mon intuition serait la bonne et que je reçoive cette oqtf, pensez-vous que je puisse, dans la foulée, déposer une demande de régularisation par le pacs ?
Que me conseillez-vous dans ma situation ?
Merci de m’avoir lue.
